Un petit immeuble dont 16 des 30 logements seront dédiés aux locataires âgés, des maisons individuelles pour les familles et un espace collectif dédié aux animations composent la future résidence intergénérationnelle.
Enéal et Clairsienne posent la première pierre de la résidence intergénérationnelle de Blaye
La foncière médico-sociale Énéal, et l'entreprise sociale pour l'habitat Clairsienne, toutes deux filiales immobilières du groupe Action Logement, annoncent la pose de la première pierre à Blaye (Gironde) d'une résidence intergénérationnelle innovante qui comprendra :
- Pour Énéal, 7 maisons individuelles en duplex (R+1), offrant un espace de vie confortable et moderne pour les familles et un bâtiment collectif de trois étages comprenant 23 logements. Chaque étage est conçu pour maximiser la lumière naturelle et offrir des espaces de vie fonctionnels et esthétiques avec 8 logements au rez-de-chaussée, 8 au premier étage et 7 au deuxième étage. Pour ces 30 logements proposés par Énéal, 16 logements seront dédiés aux seniors (6 T3 et 10 T2) et 14 logements aux familles. S'y ajoute, un espace collectif dédié aux animations de 59 m2, situé au rez-de-chaussée du bâtiment collectif et doté d'une kitchenette, de sanitaires et d'une ouverture indépendante vers l'extérieur ;
- Pour Clairsienne, 10 maisons individuelles locatives en duplex pour les T4 (R+1), destinées à accueillir des locataires de tous âges, favorisant ainsi les échanges intergénérationnels.
Le projet a été conçu par l'architecte Mathieu Bergeret de 2PM A et s'étend sur une parcelle de 9 417 m². L'aménagement de la résidence mettra en avant des espaces verts communs, des zones de rencontre et des infrastructures adaptées à toutes les générations. La résidence sera labelisée HS2, Haute Sécurité Santé par Apave, un label qui s'attache à valoriser les seniors, leur santé, leur sécurité et leur bien-être dans un cadre de vie approprié.
La réalisation de ce projet s'est concrétisée grâce à l'implication de nombreux partenaires, notamment la Banque des Territoires, la CARSAT Aquitaine, le Conseil départemental de la Gironde, et l'État, qui ont tous apporté leur soutien financier et logistique. Le coût de l'opération s'élève à 5,2 millions d'euros HT.