" Refusant le mal mourir, les Français souhaitent désormais être entendus et ne plus souffrir."
Lors de la présentation de leur proposition de loi relative aux droits des malades et à la fin de vie, Jean Léonetti, député-maire d'Antibes et Alain Claeys, député-maire de Poitiers, ont mis en avant les "améliorations" du texte qui vient d'être adopté par la Commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale.
Cette proposition de loi ouvre aux médecins la possibilité de recourir à une sédation profonde et continue jusqu'au décès du patient. Et ce, à une double condition : "que les souffrances ne puissent être calmées par des traitements et que le pronostic vital soit engagé à court terme ". Le texte sera débattu dans l'hémicycle le 10 mars.