12 ARS vont financer le lancement de 15 équipes rapides d'intervention en soins palliatifs d'HAD à hauteur de 200 000 euros chacune. Une note d'information en fixe le référentiel d'organisation.
12 ARS vont financer le lancement de 15 équipes rapides d'intervention en soins palliatifs d'HAD à hauteur de 200 000 euros chacune. Une note d'information en fixe le référentiel d'organisation.
La 2e édition de l'enquête réalisée par la Fédération nationale du funéraire fait le point sur les nouvelles attentes des Français en matière d'obsèques en 2024.
Le PLFSS lance la mise en place effective d'une nouvelle stratégie pour les dix années à venir.
Stéphanie Chauveau exerce le métier encore peu connu en France de thanadoula. Ce terme désigne un accompagnant de fin de vie, également appelé death doula et end-of-life guide aux États-Unis.
Souvent la dernière demeure des personnes âgées, l'Ehpad est un acteur important des soins palliatifs en France. De plus en plus d'établissements prennent des initiatives pour briser le tabou autour de la mort et mieux accompagner les résidents en fin de vie.
Le syndrome de glissement repose davantage sur des observations cliniques et des impressions subjectives que sur des données robustes, déplorent des auteurs de la revue Gériatrie et Psychologie Neuropsychiatrie du Vieillissement.
Ce kit est destiné aux médecins et aux équipes soignantes. Il a pour finalité de faciliter les prises en charge palliatives des résidents.
La soudaine dissolution de l'Assemblée nationale vient rebattre les cartes législatives. Exit donc le vote imminent du projet de loi sur l'accompagnement des malades et de la fin de vie. Tanguy Chatel, sociologue, confie toutefois à Géroscopie son analyse sur l'impact d'une telle loi. Entretien[1].
Les députés ont maintenu contre l'avis du gouvernement l'amendement porté par le député LR Thibault Bazin adopté en commission spéciale
Les soignants sont vent debout contre la version adoptée par la commission spéciale qui sera soumise au vote des députés à partir du 27 mai.
Comme prévu, un décret publié jeudi 25 avril élargit à l'ensemble du territoire national l'expérimentation de la rédaction des certificats de décès par les infirmières diplômées d'Etat volontaires ayant suivi une formation spécifique. Il supprime aussi la condition d'indisponibilité d'un médecin dans un délai raisonnable et il autorise la saisie électronique des certificats de décès par elles. ...
Plus de 150 000 personnes âgées meurent chaque année en Ehpad, mais MCoor déplore que la préparation de l'examen du projet de loi sur l'accompagnement des malades et de la fin de vie, oublie les gériatres et médecins coordonnateurs.
Une commission spéciale composée de 71 députés débute aujourd'hui les auditions des ministres et médecins sur la question de la fin de vie et de l'aide active à mourir. Catherine Vautrin ouvre le bal.
Quatre articles pour renforcer les soins d'accompagnement et les droits des malades, dix-sept pour définir l'aide à mourir, en fixer les conditions d'accès, la procédure, le contrôle et l'évaluation avec instauration d'une clause de conscience : le projet de loi relatif à l'accompagnement des malades et de la fin de vie est enfin connu.
Présentée ce mercredi 10 avril en conseil des ministres, la stratégie décennale pour le renforcement des soins palliatifs, de la prise en charge de la douleur et de l'accompagnement de la fin de vie entend marquer une rupture.
Un projet de décret étend au plan national l'expérimentation des certificats de décès rédigés par les infirmières à domicile et en Ehpad.
Quelques semaines à peine après le décès de Robert Badinter, Emmanuel Macron a annoncé par voie de presse (entretiens exclusifs avec nos confrères de Libération et La Croix), un projet de loi sur l'aide à mourir. Il devrait être présenté en conseil des ministres dès le mois d'avril.
L'ARS se félicite de « l'engouement » des infirmières pour l'expérimentation qui les autorise à rédiger des certificats de décès en ville, en Ehpad et en HAD
Une version préliminaire du projet de loi sur la fin de vie suscite l'indignation et l'inquiétude des organisations soignantes, comme en témoigne une conférence de presse tenue en urgence ce lundi 18 décembre.
Si 1 décès sur 5 a lieu en EHPAD, la mort reste un sujet tabou. Cette absence de discussion a des répercussions profondes, non seulement sur les résidents et leurs familles, mais aussi sur la qualité de l'accompagnement en fin de vie et du processus de deuil par le personnel soignant.
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